Dernier jour : Meyer Sound

C’est donc en cette magnifique fin d’après-midi qu’a eu lieu la dernière visite de la mission technologique 2018 au siège social de Meyer Sound. Lors de cette visite, nous avons eu l’opportunité d’avoir une visite guidée par un ingénieur acoustique axé sur le développement des affaires et par la suite, une présentation de l’équipement acoustique produit à la main. Le fait de visiter une entreprise en sonorisation nous sort de notre domaine d’étude et est par le fait même très intéressant puisque le sujet de la rencontre est très peu connu par les membres.

Lors de la visite guidée, nous avons pu voir les étapes nécessaires à la fabrication d’un haut-parleur depuis la matière première jusqu’au produit fini. Au cours de la visite, nous avons arrêté en chemin dans une salle de démonstration de produit. Lors des démonstrations, certains de nos membres n’ont pu se contenir de sortir quelque mouvement de danse vu la musique de Michael Jackson qui se faisait entendre. Comme Meyer Sound priorise la qualité et l’uniformité de ses produits finis, la majorité du montage et des étapes de fabrications sont effectués à la main par des employés formés précisément pour être les meilleurs dans leur domaine.

Par la suite, les membres de la mission ont été dirigés vers le Home Theater de Meyer Sound. Cette pièce du bâtiment est en fait une salle ayant une capacité d’insonorisation très grande et bien sûr près d’une cinquantaine de haut-parleurs haut de gamme produit par Meyer Sound. Cet endroit a été rénové en 2005 pour offrir au client une opportunité de voir la qualité et l’expertise de l’entreprise dans l’univers de la sonorisation. Suite à la présentation et l’historique de la salle, nous avons eu droit à une expérience sonore sans pareil qui en a laissé plusieurs sans voix.

En somme, avec la visite guidée et la démonstration du Home theater du siège social de Meyer Sound, l’équipe est unanime pour dire que cette dernière visite était très intéressante et que celle-ci boucle bien la boucle des nombreuses visites des deux dernières semaines.

Jour 11 : Cruise

Cruise est une compagnie travaillant sur la conception de voitures autonomes. Ce secteur  étant hautement compétitif, nous n’avons pas eu la possibilité de prendre de photos. Nous avons tout de même eu la possibilité de voir leurs voitures de près. Ces véhicules autonomes sont très impressionnants avec leur allure futuriste; elles sont équipées d’une multitude de capteurs, de caméras, de radars ainsi que de LIDARs, des caméras lasers.

Nous y avons rencontré quelques employés, dont plusieurs ingénieurs. Ils nous ont expliqué en quoi consistaient leurs responsabilités dans leurs domaines respectifs. L’un d’eux faisait la conception de logiciels de conduite autonome, un autre s’occupait de la création d’environnements de simulation afin de pouvoir tester les véhicules dans des conditions contrôlées et finalement, la troisième ingénieure faisait la gestion de l’infrastructure de l’immense quantité de données qu’ils collectent lors des essais sur la route.

Pour conclure, cette visite a été très intéressante et nous avons beaucoup appris sur cette technologie futuriste dont l’implantation ne semble pas si loin.

Jour 11 : L’Antenne du Québec à Silicon Valley

Rencontre au 36ème étage avec Jérôme et Guy de l’Antenne du Bureau de la Délégation du Québec dans la Silicon Valley. Quatre niveaux forment les 29 établissements du Québec autour de la planète. Les voici en ordre croissant de ressources et d’ampleur :

  • Antenne
  • Bureau
  • Délégation
  • Délégation générale

Le rôle du Québec est de promouvoir les intérêts de cet état fédéré à travers la planète selon six axes : entreprises, investissement, institutions gouvernementales, éducation, culture et affaires publiques (1). Selon la grosseur de l’établissement, le spectre de tâches varie. Nous avons visité l’antenne à San Francisco, soit celle de plus petite taille. Ainsi, Jérôme et Guy opèrent dans des secteurs précis : l’industrie 4.0, l’internet des objets, la recherche biomédicale, les mines, l’aérospatiale, sciences de la vie, optique photonique, entrepreneuriat international et les centres de recherche. Durant deux heures, nous avons discuté et échangé sur les rôles et les opportunités de l’antenne. La vue sur San Francisco était fabuleuse. Avec un accompagnement de viennoiseries et de café, la rencontre était très plaisante.

Ce n’est pas la première fois que des membres de la mission visite les bureaux de la Délégation du Québec. Alex est passé par ceux de la Chine avec la dernière mission et Antoine par celui de Mumbai. L’accueil est toujours aussi chaleureux et les conseils toujours de qualité. Le Québec est une province magnifique et c’est plaisant de rencontrer des personnes qui contribuent à son rayonnement.

Jour 10 : Facebook

Première impression

Notre première impression du campus fut son immense taille. Comme nous allions pouvoir le voir durant notre visite, les bâtiments recèlent une cour intérieure répliquant la rue d’origine de Facebook. Le stationnement tout aussi grand, inclus des bicyclettes disponibles pour se déplacer d’une entrée à l’autre, en plus d’un service de taxis occupant la même fonction.

Nous avons d’abord été accueillis par François Richard, un Québecois, ainsi que trois de ses collègues: Jean-Christophe Raso, Manas Gupta et Sotirios Delimanolis.

Déroulement de la visite

Notre visite a débuté par le centre des différents édifices qui forment le campus. Conçu pour ressembler à la rue de Palo Alto où la création de Facebook a originalement eu lieue. Cependant, plusieurs modifications y ont été apportées. Ces modifications sont des contributions faites par les employées, que ce soit pour commémorer une personnalité appréciée de tous, ou encore un ajout afin d’aider les nouveaux employés à se retrouver, ou finalement une salle servant à réunir les employés autour d’une passion commune.

Hackathon

On nous a expliqué que la plupart de ces modifications du campus ont été conçues lors des hackathons qui ont lieu tous les trois mois. Dans ce cas, le terme hacking est particulier à la culture de Facebook et est utilisé pour décrire l’innovation et l’optimisation d’un système informatique ou autre. Ce hackathon est une activité où chacun peut démarrer un projet hors de sa zone d’expertise et ayant pour objectif de contribuer à l’amélioration de la vie de tous chez Facebook.

Bootcamp

Nous avons aussi appris que chaque nouvel employé (soit environ 100 par semaine mondialement) doit participer au Bootcamp Facebook, où il sera initié aux techniques de base de son domaine et des autres. Cela a pour effet de mettre tous les employés sur le même pied d’égalité, tout en créant des liens forts entre ceux-ci.

Culture de Facebook

Nous nous sommes ensuite réunis dans une salle de conférence afin de discuter du cheminement et du travail de nos hôtes. De plus, François nous a partagé la philosophie et la culture d’entreprise chez Facebook, qui consiste en 4 aspects.

Le premier, Focus on impact parce que même si un projet est intéressant, s’il n’a pas d’impact, le temps qu’on y accorde se retrouve perdu.

Le deuxième, Move fast. L’idée est de sortir des idées et des concepts rapidement, puis s’ils sont bien reçus, travailler à les améliorer, ou, s’ils ne le sont pas, de pouvoir rapidement passer à autre chose.

Le troisième, Be open. Cela pousse l’ouverture d’esprit. Tout le monde est encouragé à questionner l’impact des autres et chacun doit être ouvert à cette idée.

Le dernier, Be bold. Prendre des risques (calculés) a permis à Facebook d’évoluer vers sa taille actuelle. En prenant la décision de concevoir la grande majorité de ses outils à l’interne, Facebook a pris de très grand risques, car ceux-ci sont complexes. Mais en se dotant d’experts comme ceux que nous avons rencontrés cet après-midi, cette décision a permis à Facebook de prendre l’expansion rapide qu’on lui connaît.

 

Jour 10 : Santa Cruz

Des vélos, enfin quelque chose d’un peu plus simple… du moins c’est ce qu’on croyait… Projet d’abord initié par Santa Cruz Skateboards il y a de cela 25 ans, la filière vélo est complètement indépendante à l’heure actuelle. L’entreprise vous propose 13 modèles différents afin de combler l’une ou l’autre de vos demandes en matière d’off road. Ce n’est pas avec leur dropper post qu’elle se différencie, mais bien avec son expertise en composite. En passant du cadre jusqu’aux roues, plusieurs des pièces sont en carbone assurant légèreté et résistance à la fatigue. Rassurez-vous, un brevet sur leur point de pivot vous permettra d’absorber vos montés d’adrénaline!

Le directeur marketing insiste sur le fait que l’assemblage doit être fait sur place, alors que la production des pièces se fait en Chine et en Taïwan. Cela permet d’avoir un meilleur contrôle de la qualité et de réduire les coûts de production. Les cyclistes sont exigeants et veulent un produit adapté. On parle d’une monture qui n’est pas surdimensionnée, dont le poids est au minimum sans compromettre la rigidité et, surtout, la durabilité. Enfin, ces vélos seront abusés et c’est ce que l’équipe d’ingénierie souhaite au plus haut point!

Peter Mueller-Wille, designer mécanique, nous fait part de la recherche et développement, l’étape la plus critique. Réalisés en Californie, tous les prototypes sont conçus par ordinateur, analysés et testés en laboratoire avant d’être lancés sur la chaîne de production. C’est en fait les politiques de garanties qui leur permettent de découvrir de nouvelles défaillances, d’en tenir un registre, d’apprendre, d’établir leurs propres standards et de les mettre en oeuvre en fabrication.

Enfin, Santa Cruz fait preuve de simplicité même s’il s’agit d’un domaine rigoureux et évolutif. Leur culture d’entreprise typiquement côte Ouest transparaît dans leurs produits finis, mais aussi dans leurs relations d’affaires et dans leur implication dans la communauté locale.

Avis aux jeunes ingénieurs mécaniciens passionnés d’air pur, aux idées fraîches et cumulant quelques années d’expérience, nous avons un contact LinkedIn!

Jour 9 : Netflix

Netflix est l’une des compagnies les plus prestigieuses de la Silicon Valley. Avec plus de 125 millions d’abonnés, cette entreprise qui offre des services de streaming emploie environ 2500 personnes sur son campus de Los Gatos.

Nous avons été accueillis en début d’après-midi par Fréderic Turmel, ancien étudiant de l’ÉTS en génie électrique, qui nous a tout d’abord fait visiter leurs prestigieux bureaux construits tout récemment en 2016. Par la suite, ce dernier nous a présenté les laboratoires de contrôle de qualité où il travaille. Finalement, il nous a présenté à deux de ses collègues québécois : Jean-François Dionne et Alexandre Dion. Nous avons eu la chance de visiter Netflix le jour où ils publiaient leurs résultats trimestriels et de même, nous avons pu participer aux festivités associées à cet événement avec les trois ingénieurs expatriés.

Ce qui nous a le plus fasciné chez Netflix, c’est que nous ne nous rendons pas toujours compte de la quantité phénoménale de travail qui est nécessaire en arrière-plan pour que l’expérience des utilisateurs soit optimale et sans friction. Par exemple, nous avons visité deux laboratoires de tests où se trouvent différentes plateformes et périphériques sur lesquelles l’application de Netflix est installée. Nous avons été impressionnés par la grande quantité de consoles de jeux vidéos et de téléphones cellulaires qui s’y trouvaient et sur lesquelles des tests étaient effectuées en permanence afin d’assurer une qualité de vidéos supérieure et une expérience utilisateur constante.

Nous avons aussi été surpris de la confiance que Netflix accorde à ses employés. Ceux-ci ne sont pas obligés de motiver leurs dépenses de fourniture de bureau, de logiciels et de voyages à leurs supérieurs. L’idée étant que si une personne considère qu’une dépense est requise pour l’amélioration de son travail et de sa productivité, elle ne devrait pas avoir à perdre son temps et celui de son manager avant d’en faire l’achat. Notre interlocuteur à résumer cette phrase par “People over process”, c’est-à-dire de réduire la lourdeur bureaucratique à son minimum et de s’en remettre au bon jugement des employés.

De plus, cette culture d’entreprise est enrichie par des valeurs telles l’ouverture et le partage. On nous a dit que n’importe quel employé pouvait poser des questions directement au PDG. La hiérarchie est très horizontale et les formalités sont gardées au minimum.

Un dernier élément notable de la culture d’entreprise chez Netflix est le fait qu’on y pratique une forme d’honnêteté extrême, “Radical honesty”. Par cette pratique, les employés sont encouragés à être directs et honnêtes avec leurs pairs et leurs gestionnaires en leur offrant des critiques constructives afin que tous puissent toujours continuer à s’améliorer.

Bref, la visite chez Netflix a été très inspirante et informative. Nous avons pu en apprendre plus sur le métier d’ingénieur dans la Silicon Valley et sur les particularités de la culture d’entreprise chez Netflix.

Jour 9 : Stanford

Stanford est une université privée reconnue à travers le monde. Établie à la fin des années 1800, cette école fut construite sur les terres de la famille Stanford. Toutes les terres appartiennent toujours à l’université et plusieurs ont été ajoutées.

Le campus comprend une vingtaine de fontaines, plusieurs bibliothèques, de nombreux complexes sportifs ainsi que plusieurs restaurants pour les étudiants. Nous avons eu la chance d’obtenir une visite du campus et d’apprendre ces faits intéressants ainsi que des anecdotes historiques sur l’école.

Le département d’ingénierie est reconnu parmi les leaders mondiaux. Il comprend plusieurs bâtiments et laboratoires de recherche dont le « Product Realization Lab » qui est un endroit où tous les projets peuvent être réalisés. Plusieurs outils et services sont mis à la disponibilité des étudiants.


En conclusion, cette école est depuis très longtemps ouverte sur les avancées et a une vision progressive sur l’éducation. Stanford réussi encore aujourd’hui à démontrer sa diversité sur son magnifique campus.

Jour 8 : Tesla

Tesla, inventeur de génie, mais aussi compagnie d’innovation et de progrès. L’entreprise fondée en 2003 et dirigée aujourd’hui par Elon Musk est une référence pour la production de voitures électriques, mais conçoit et fabrique également des panneaux solaires et des batteries à usage domestique.
Notre groupe est parti un matin pour découvrir la chaîne de production de l’ensemble de ces modèles de voiture électriques (S, X et 3) à Fremont.
Note : la visite, hélas, interdisait l’accès à tout appareil d’enregistrement ou de prise de photos. Nous ne pourrons pas donc vous montrer les robots et autres éléments révélés à l’intérieur du site.

C’est à l’intérieur d’un petit train, que nous avons pu explorer la chaîne de montage, du châssis à la mise en place des phares jusqu’aux tests finaux, toutes les pièces de la voiture sont conçues, produites et montées sur un seul site. Surprenant dans une industrie où la concurrence privilégie la sous-traitance de ses produits.

Cette visite a été l’occasion de rencontrer un ingénieur de l’équipe d’assemblage et d’en apprendre un peu plus sur les conditions de travail. Et à l’entendre, travailler chez Tesla demande un investissement: effectuer des semaines de 50 heures et ne pas avoir peur de prendre son samedi pour poursuivre le projet. Mais ce sont avant tout des groupes de passionnés ayant une bonne liberté de manœuvre, mais avec dates butoirs très serrées.

À vous de réussir le challenge, si vous avez la chance d’intégrer leurs équipes !

Jour 8 : Centre d’expérience client CISCO

Nous voilà maintenant en Californie !

À l’horaire de cet après midi, une visite du centre d’expérience client CISCO, proposée par notre contact Raquel Aguilar, responsable des affaires sociales des académies Cisco pour Cisco Amériques.

Pour rappel, Cisco est une compagnie mondiale qui oeuvre dans le domaine des télécommunications, et plus précisément dans les réseaux informatiques. L’objectif de la présentation était de nous présenter d’un point de vue haut niveau comment Cisco était actuellement implanté dans les entreprises et notre vie de tous les jours.

Cisco dans l’industrie de la robotique

Comme expliqué plus haut, originalement l’entreprise était axée sur tout ce qui avait attrait au matériel de télécommunication (routage, commutateurs, pare-feu…). Mais depuis quelques temps, l’entreprise s’est implantée dans de nombreux domaines, notamment la production automatisée.

Notre présentateur nous a montré comment Cisco travaille avec l’industrie de la robotique pour permettre aux entreprises de récolter toujours plus de données sur leur production. Parmi les solutions proposées, le produit Cisco Kinetic, qui permet entre autres d’accéder en temps réel aux données de production, statistiques en tout genre, rapports et support à distance.

Les réseaux sociaux et Cisco

Le présentateur nous a fait une brève introduction aux outils proposés par la compagnie, par le biais de tierce partie, pour capturer les informations contenues sur les réseaux sociaux et avoir des statistiques détaillées. L’objectif est  par exemple, de pouvoir aider les compagnies à surveiller leur image et ce qui se dit sur les réseaux sociaux à leur propos, de manière rapide, simple et efficace.

Réceptionniste virtuel

Nous avons eu le droit à une bref démo des équipements de visioconférence Cisco utilisés dans le cadre de l’assistance aux utilisateurs, notamment pour l’impression de leur carte d’embarquement, le support à la clientèle etc… En effet, Cisco propose d’avoir une personne disponible en tout temps, à distance, qui répondra aux questions des utilisateurs rapidement, et surtout, qui sera disponible pratiquement en tout temps. De l’autre coté de la technologie, le vrai réceptionniste gère plusieurs points de vente simultanément, tout en étant assis tranquillement dans son bureau.

CyberSécurité

Point important de l’informatique de nos jours, la sécurité. Notre présentateur nous a montré comment Cisco intervenait dans ce domaine, notamment par le biais d’outils intelligents tels que Telos. Ces outils ont pour rôle de récolter l’ensemble des données sur les attaques, menaces, logiciels malveillants etc… à travers le monde. À partir de ces informations, disponibles dans le cloud, les équipements vendus par la compagnie sont en mesure de pouvoir mieux défendre les utilisateurs des attaques futures.

Historique de la compagnie et utilisation diverse

Pour terminer, la compagnie nous a présenté son historique, comment elle en est venue à vendre des équipements de télécommunications et ses objectifs futurs. Nous sommes également entrés dans un mini magasin, dans lequel l’entreprise montrait comment elle travaillait avec les stades, magasins et autres endroits publiques pour aider à la promotion des marques, l’amélioration des ventes et l’affichage d’informations en temps réel.

En somme, ce fut une visite très intéressante, aussi bien pour les personnes déjà initiés aux TI que les personnes qui ne connaissaient pas encore Cisco. Cela nous a permis de comprendre à quel point l’entreprise était implantée partout dans le monde et comment ses technologies agissaient sur le monde qui nous entoure et dans notre vie de tous les jours.

Jour 8 : Apple Center

Le design, l’expérience client, le marketing et l’apparence soignée sont les mots qui nous viennent en tête en entrant au Apple Park Visitor Center. Nous sommes accueillis par des applaudissements en pénétrant dans l’immeuble. Avant d’entrer, nous avons rejoint un ancien étudiant de Luc, Sébastien Déry. Il a complété son bac en génie logiciel et une maîtrise à McGill. Il a incorporé une entreprise, Lattice, qui a été acheté par Apple pour sa technologie et son équipe. C’est dans une ambiance chaleureuse que Sébastien nous a partagé son expérience dans la Silicon Valley. De plus, nous avons discutés de l’équilibre entre le travail et la vie personnelle, l’ambiance de travail chez Apple, la philosophie, la vision de carrière et ses ambitions. Selon lui, deux éléments sont absolument essentiels pour une carrière durable : une excellente communication et une vision claire et définie. Le but, trouver ces éléments dans une compagnie puis le développement des habiletés requises sera fluide.

Missions étudiantes internationales de réseautage en génie de l'ÉTS